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Articles de presse Exposition Les portraits d’arbres

Article Le Progres.fr

Lien : Les chênes lièges de l’Alentejo par le peintre Philippe Peseux

Article leprogres
© Eric VIOLET

« Exilé volontaire au Portugal, Philippe Peseux rend hommage aux arbres et à la nature de l’Alentejo.

La région de l’Alentejo au Portugal, et plus précisément la petite ville proche de la mer d’Odemira, est devenue le lieu d’adoption et jardin d’Eden du peintre d’origines franc-comtoise et bisontine Philippe Peseux. Depuis neuf ans, entre ciel et terre, il y peint régulièrement de majestueux « sobreiro ». Des Quercus suber plus communément appelés chênes lièges. Et ceci après démasclage, la récolte de leurs précieuses écorces. Réputé pour son huile et ses vins rouges puissants, l’Alentejo l’est aussi pour ses vastes suberaies, les plus grandes du pays. Le Portugal, à la fois loin et proche, un pays dont est tombé amoureux l’artiste, lui rend bien à travers ses œuvres. Vingt toiles sont exposées à Besançon, sous formats divers, peintes entre 2012 et 2017. »

 

Article Est républicain

Lien : « Les Portraits d’arbres » de Philippe Peseux à la galerie Médicis

Les Portraits d’arbres de Philippe Peseux à la galerie Médicis
© Photo DR

« Le peintre Philippe Peseux présente ses œuvres picturales récentes à la galerie Médicis. 

La galerie Médicis accueille, jusqu’au jeudi 27 septembre prochain, les œuvres picturales récentes et remarquables du peintre Philippe Peseux. Bisontin d’origine, l’artiste qui vit actuellement dans les contrées ibériques, après un parcours d’illustrateur et d’auteur de bandes dessinées, s’adonne depuis une dizaine d’années à la peinture. Ses œuvres, toutes créées dans l’Alentejo, région sud du Portugal, essentiellement des portraits d’arbres, et plus précisément, de chênes-liège, « tous frappés par le soleil et la hache du leveur de liège » précise-t-il, y révèlent, par la dynamique tendue ou tortueuse du tronc, le jaillissement léger ou fourni des branchages, toute la noblesse de la résilience.

En quête de liberté et d’absolu, l’artiste avoue avoir l’habitude de peindre en plein air, afin d’y saisir les colorations variées et fugitives que peut lui offrir la nature. « L’arbre est vecteur de lumière et de couleurs, il est un élément essentiel, une structure identifiable et qui à lui seul signifie un paysage. L’arbre peint pour lui-même, affirme sa puissance, sa force, le temps ne l’atteint pas. Il est bien vivant, là encore, l’homme se sent peu de chose comparé à sa majesté » confie le peintre. »

 

Article ma commune

Lien : Philippe Peseux expose à la Galerie Médicis à Besançon

Article ma commune
©Alexane Alfaro

Du 8 au 27 septembre 2018, Philippe Peseux exposera une quinzaine d’œuvres picturales récentes à la Galerie Médicis à Besançon. En attendant, il nous livre ses inspirations…

Le sujet principal de cette exposition est le chêne-liège. Pourquoi ? Après avoir été illustrateur à Paris pendant une dizaine d’années, Philippe Peseux est parti au pendant plusieurs périodes au Portugal depuis 2008. « Je peins depuis que je vis au Portugal, car je ne pouvais pas peindre à Paris pour plusieurs raisons. J’en avais envie comme une bouffée d’air, j’avais besoin de liberté dans la création », nous confie-t-il. « Le Portugal m’a apporté l’espace pour commencer à peindre ce qui m’a permis de trouver ma personnalité de peintre. »

Au Portugal, l’artiste vivait dans un environnement très rural, naturel et sauvage. « Le chêne-liège représentait très bien ce que je recherchais parce qu’il avait subi l’agression de la récolte de son écorce, de son liège », souligne-t-il, « Je ne peints que des chênes-lièges récoltés, donc il y a cette idée de résistance à l’exploitation et cette mise à nu ».

Pour Philippe Peseux ce côté du chêne-liège le touche beaucoup, « comme tout le monde aujourd’hui » dit-il « dans des sociétés aujourd’hui très mal mené ». Malgré cela, sa peinture n’a pas vocation à faire de la politique. « Je n’aime pas la politique voyante dans l’art, j’aime la subtilité » explique-t-il, « mais dans ma production, je l’ai en tête. »

Pour l’artiste, le sujet du chêne-liège correspond donc « très bien à ce que j’ai envie de faire passer dans ma peinture ».

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